

Apprendre l’anglais en jouant et en bougeant : une méthode pour les enfants Dys!
TROUBLES D'APPRENTISSAGE(DYS)
Chez Mon Ballon Mon Cerveau, nous savons que les enfants qui ont des difficultés d’apprentissage, comme les troubles Dys (troubles de l'attention, etc.), peuvent parfois se décourager en classe. Mais avec notre méthode, apprendre devient amusant et motivant !
Quand la classe sort du cadre habituel et vient sur le terrain de sport, tout change. L’ambiance est plus détendue, et les enfants oublient leurs peurs ou leurs doutes. Pendant qu’ils jouent et se concentrent sur le sport, ils absorbent naturellement l’anglais sans même s’en rendre compte.
Le sport, les jeux, et l’apprentissage adapté aident les enfants à retrouver confiance en eux. Ils découvrent alors qu’ils sont capables de grandes choses et révèlent le meilleur d’eux-mêmes.
Chez Mon Ballon Mon Cerveau, apprendre l’anglais devient une aventure où chacun trouve sa place, progresse, et s’épanouit !
Nos outils
Nous utilisons notre B.O.D (Boîte à Outils Dys), remplie d’outils et d’aménagements qui rendent l’apprentissage plus facile. Ces adaptations permettent à chaque enfant de participer pleinement, sans être freiné par ses difficultés. Nos sessions sont préparées par des spécialistes des troubles de l'apprentissage.


Apprendre
Différemment
UN PETIT APERCU
De certains de nos élèves ....


MIA, 10 ans
Elle bouge tout le temps, parle à contretemps, interrompt la séance et oublie souvent ses affaires. Au premier regard, on la pense insolente, distraite, voire "turbulente". Mais quand on prend le temps de l’écouter, on découvre une enfant brillante, pleine d'idées, atteinte de TDAH. Elle ne cherche pas à déranger : son cerveau va juste plus vite, autrement. Le sport l’aide à canaliser son énergie, et l’anglais devient un jeu qu’elle adore.


CELESTINE, 9 ans
Elle est douce, attentive, mais maladroite. Elle tombe souvent, galère avec ses lacets, et évite les jeux de ballon. Certains pensent qu’elle est lente ou "pas douée". Mais Léna est dyspraxique : son cerveau peine à coordonner ses gestes. Grâce à des activités adaptées, elle prend plaisir à bouger, progresser, et surtout… à ne plus avoir peur d’essayer.


Mehdi, 11 ans
Il évite de lire à voix haute, écrit très lentement, et confond les sons. Certains disent qu’il "ne fait pas d’effort", qu’il est "fainéant". En réalité, Nassim est dyslexique. Son cerveau traite les lettres différemment, mais sa logique et sa mémoire visuelle sont redoutables. En associant le mouvement aux mots, il retrouve confiance en lui et découvre qu’il peut apprendre... à sa manière.